Dans un monde où la finance peut être un levier d’impact positif, la Banque Transatlantique accompagne ses clients désireux de donner du sens à leur patrimoine. Fondée en 1881, elle s’est imposée comme un acteur clé du paysage bancaire français, alliant tradition et innovation au service d’une clientèle fortunée, de cadres dirigeants et d’entrepreneurs. Elle est aujourd’hui reconnue pour son expertise en gestion privée, en administration de plans d’actionnariat, et se distingue également par son engagement en faveur de la philanthropie. Pour Choiseul Magazine, Aurélia de Garsignies, Directrice Philanthropie, éclaire le rôle de la banque dans l’accompagnement des philanthropes et sur les solutions mises en place pour maximiser l’impact des dons.
Comment l’accompagnement philanthropique s’est-il développé à la Banque Transatlantique ? Pourquoi est-ce important qu’une banque de gestion de fortune parle de philanthropie à sa clientèle ?
En tant que banque de gestion de fortune, nous accompagnons de nombreux clients sur les sujets de patrimoine et de transmission. Quand notre clientèle souhaite consacrer une partie de son patrimoine ou de ses revenus à l’intérêt général, le sujet de la philanthropie est assez naturellement abordé. Les clients peuvent ainsi bénéficier d’expertises internes pour concrétiser leurs projets tout en maximisant l’impact de leur don. Les moments clés pour se lancer en philanthropie peuvent être, par exemple, la cession d’une entreprise, la réception d’un héritage ou la vente d’un bien immobilier. Cela peut également leur permettre de fédérer leur famille autour de projets porteurs de sens et de faire perdurer les valeurs familiales sur plusieurs générations.
Et c’est aussi tout à fait cohérent de parler philanthropie à la Banque Transatlantique, filiale de Crédit Mutuel Alliance Fédérale, 1ère banque à mission et groupe mutualiste qui porte des valeurs sociétales fortes.
La philanthropie est aujourd’hui un des quatre métiers pour lesquels l’expertise de la Banque Transatlantique est particulièrement reconnue, aux côtés de la gestion privée, de l’accompagnement des Français à l’étranger et de la gestion des plans d’actionnariat managers. Notre vision est que l’argent n’est pas une fin mais un début, il est créateur d’opportunités !
Comment se déroule l’accompagnement de la Banque Transatlantique en matière de philanthropie ? Quels conseils donneriez-vous à quelqu’un qui souhaite s’engager en philanthropie mais qui ne sait pas par où commencer ?
Il faut tout d’abord prendre le temps de comprendre la sensibilité du client à différentes causes, pour identifier celles qui lui sont chères, et analyser sa situation patrimoniale et familiale.
Il faut ensuite préciser avec lui ses ambitions en matière d’implication financière, personnelle et familiale, afin de lui proposer la solution la plus adaptée : création de sa propre fondation, de son fonds de dotation ou d’un fonds hébergé au sein du Fonds de Dotation Transatlantique.
La démarche doit être organisée : déterminer les axes et les critères de soutien, structurer la solution choisie (droit, fiscalité et gestion financière) et enfin définir le mode de gouvernance. À la demande du philanthrope, des projets d’intérêt général préalablement vérifiés peuvent lui être proposés, et ce grâce à une veille régulière du secteur associatif.
Comment agit le Fonds de Dotation Transatlantique et en quoi est-il innovant ?
En 2012, la Banque Transatlantique a créé le Fonds de Dotation Transatlantique, premier fonds de dotation fondé par une banque française agissant en tant qu’incubateur de philanthropes. Ce fonds de dotation accompagne la démarche philanthropique d’une cinquantaine de philanthropes particuliers et entreprises mécènes. Depuis 2012, plus de 20 M€ ont été collectés et plus de 13 M€ ont été redistribués à plus de 700 projets d’intérêt général.
Pour retrouver le classement Choiseul Finance de demain 2025, réalisé par l’Institut Choiseul en partenariat avec Haussmann Executive Search et CFNEWS (Corporate Finance News), rendez-vous sur le site de Choiseul France.
